Sat 19/06/2010

Tout le monde cherche à avoir une vie meilleurs mais on n'y arrive pas forcément toujours ou plutôt avons-nous, par notre éducation, notre environnement, des bonnes techniques, des approches de la vie pour y arriver ?

Histoire de Drogue

Quand je fumais, j'avais beaucoup d'arguments pour dire que c'était bien :

Ça soulage les handicapés, ça redonne l'envie de se nourrir aux sidéens et soulage ceux qui ont des douleurs. La marijuana est utilisée depuis des siècles en médecine, du fait de ses vertus analgésiques, anti convulsivantes, sédatives, hypnogènes et antispasmodiques. En 1986, la FDA a autorisé l’usage médical d’un dérivé synthétique de la marijuana, actif per os, ... Je ne me disais pas que les médicaments font la même chose et qu'on n’en prend pas pour autant !

Je me disais que quand le shit est bon, c'est quand on est dans un état cool, ou tout devient lent et tranquille. En fait, quand j'étais fonceD (défoncé) c'est quand je ne réfléchissais plus trop. C'est dans cet état que je disais que c'était cool. Ou tout devient lent, zen quoi. En fait je ne voulais plus réfléchir, j'aurai pris des somnifères que cela aurait le même but sauf que t'es éveillé. C'est un peu comme si on prend des neuroleptiques (xanax,  léxomil ou du prozac).
J'étais comme les trois petits singes: Je ne vois plus rien, je n’entends plus, je ne parle plus.
En fait plus on dit que c'est du bon, c'est quand tu dors éveillé. Bien sûr il y a certaine beuh (herbe) qui te fait rire tout le temps, enfin ça marche pendant un temps puis tu es fonceD après, tu dors, t'es une loque, c'est ça être fonceD.

Enfin j'en oublie, d'ailleurs j'oubliais beaucoup quand je fumais.

Je ne me disais jamais je ne fumerais plus d'1 pet par mois, que c'était juste festif.
Ouaip! ça c'est au début après ça change vite. On me disait c'est bien, tu es zen et en plus ça t'aide pour t'endormir, donc je commençais à vouloir essayer avant de m'endormir, après j'en avais besoin pour dormir. Ce que je ne me disais pas, c'est que c'était la même chose que de prendre des somnifères mais c'est pas noble de dire que l'on en prend, par contre dire que l'on fume un pet avant de s'endormir alors là ça change tout.
Puis à chaque fois que je voyais mes potes et puisque c'est considéré comme une drogue douce (pas de dépendance), alors j'en fumais toute la journée sans m'en apercevoir et me dire que j'étais comme ceux que je ne voulais pas être. Une loque droguée à longueur de journée sans plus pouvoir vraiment arrêter. Et bien sûr sans me dire que j'étais drogué, d'ailleurs pour moi c'était les autres, les alcoolos et ceux qui prenaient de la drogue dite dure. Le shit est une drogue douce, vraiment ???

 

L'engrenage ?

Et oui quand je voyais mes potes c'était stylé de fumer. Donc juste un pet, et c'était reparti pour une soirée fume. Pour moi ceux qui ne fumaient pas étaient des vieux cons qui ne comprenaient rien. L'argument de quelques potes et moi était que les vieux ringards sont ceux qui boivent de l'eau. Ça en dit long.

 

C'est quoi une bonne fête ou comment en passé une aujourd'hui ?

C'est simple, c'est quand il y a un peu de matos, tu as de la bonne beuh, tu as du marocain, bah, tant pis on fera avec, de la binouse ( bière ), différents alcools et quelques taz ( ecstasy ) dans les soirées mouvementées et de la CC ( cocaïne ), kéta ( kétamine, somnifère pour éléphant et chevaux ), sub ( subutexe, officiellement pour ceux qui veulent décrocher des drogues dites dure... ) etc.
Voilà les bons ingrédients pour bien faire la fête.
En fait quand tu passes une bonne soirée, c'est quand on tout le monde est défoncé.
C’était mes soirées, je ne voulais plus rien voir, j'étais juste dans le paraître et disais, ouai ça va, nickel, et toi ? En fait j'étais souvent très mal, voir très très mal. Mais en tout cas rarement bien.

A chaque fois que je voyais une émission sur le shit et disait qu'il fallait l'interdire, moi je m'allumais des pets à leur santé, je trouvais ça naze (pourri ou à mourir de rire tellement c'était bidon), ces vieux cons qui ne comprenaient rien à rien. En fait l'interdire ne sert à rien, tout d'abord parce qu'on fait toujours les interdits et qu'ensuite on trouve toujours les trucs interdits.

Libre, de devenir dépendant de cette merde. Ce n'est pas pour rien que l'on prononce que l'on fume de la "weed" en anglais qui veut dire de la mauvaise herbe ou du " shit " qui veut dire de la merde, on ne dit pas que c'est de la merde, bien au contraire.

Je commençais à devenir de plus en plus parano et je faisais de moins en moins de trucs. J’en étais conscient, ça me faisait chier et en même temps je ne pouvais plus m'en passer. Avant de sortir dans un lieu public (resto, bar, ...), il fallait que je fume, c'était la règle d'or, et si possible fumer pendant aussi.
Mes délires de parano étaient de croire que tout le monde me regardait et que la police m'avait mis sur écoute, que tout mes faits et gestes étaient archivés. Je ne pouvais laisser personne seul dans mon bureau plus de 5 minutes sans me demander s'il allait me prendre des trucs ou fouiller dans mes affaires. C’était lourd.
Je devenais une loque. Puisque le plaisir de vivre se faisait de plus en plus rare alors ...

 

Mes 1er Taz

Un jour avec des potes, ont est allé en Teuf ( dans une rave ou une free ). Là mon pote me proposait des taz (ecstasy).
J’en pris 1. Au bout d'une heure je ne sentais toujours rien puis je rencontrais d'autres potes qui m'en ont proposé 1 pour la moitié prix (50Francs ou 7.5€). Je le pris.

Les effets, pendant

Une espèce de chaleur m'a envahi, j'avais l'impression que j'allais tomber par terre, comme si j'avais plus de jambes, je me sentais étrange. Une bouffée de bien-être, qui montait et montait, c'était à la fois super bon et étrange, je sentais le cœur battre très vite. Je me demandais jusqu'où que ça irait car les montées étaient toujours plus fortes. Pffff, j’étais super bien, j'avais l'impression de me prendre pour dieu, yes, c'était vraiment génial. Puis un truc bizarre, puisque mes jambes ne réagissaient plus trop, j'avais l'impression de tomber dans un trou, dans un abîme.
Mon 1er délire commença, là de suite j'allais voir mes potes et l'un d'eux me pris à part et me disait qu'il fallait que je me repose de temps en temps comme si je n'avais rien pris car les taz ne te font pas ressentir la fatigue. C’était dur de se reposer avec cette patate.
Puis il me dit de dire à voix haute, "Je vais bien", "je vais bien" et de le crier, et là j'eus de nouveau une putain de remontée.
C’était comme ça toute la soirée, des très hauts et des très bas.
Toutes les pensées positives étaient multipliées par 100, c'est pour ça qu'on appelle ça l’ectasie, car t'es dans l'extase, mais aussi quand une pensée négative surgit, elle est aussi multipliée par 100 et là tu délires vraiment très mal, tu peux y rester, c'est ce qu'on appelle le bad trip. Tu peux rester scotché (bloqué), soit être dans un monde ou tout te semble aller bien ou pire.

Il y a un des teufeurs qui est resté scotché sur superman, car il a pris un petri du nom de superman (un trip, goûte de lsd 'hallucinogène' sur un papier buvard sur une seule face et parfois sur l'autre face, on l'appelle un double, c'est découper en forme de petit carré avec des imprimés et auquel on en prend un ou voir plusieurs petits carrés ) et son délire était de croire qu'il était superman, le reste de sa vie. Le délire inverse, la dépression, y a ceux aussi dont le système nerveux est trop endommagé et qui deviennent handicapés physiques.

Toute drogue a un nom, l'histoire de dire que celle là est meilleure que d'autres, mais c'est n'importe quoi, c'est psychologique et commercial, c'est tout !
D'ailleurs les drogues sont une grosse affaire commerciale. Y avait des petris qui s'appelaient OffMan 2000, ça veut tout dire, t'es off après, tout le monde le voulaient. OffMan est aussi un hommage au créateur Albert Hofmann qui a synthétisé le LSD 25 en 1943.
Celui qui a pris le petri du centre (là ou est déposé la goutte) aura obligatoirement plus d'effet que les petris pris sur les bords.
Sache que les drogues (ecsta, petri, etc. ) sont rarement pure, elles sont souvent coupée avec d'autres produits plus ou moins nocifs. Mais vu qu'en générale ce monde là est malsain alors presque tout est permis.
Mais les noms des prods sont toujours les mêmes.

Pendant cette teuf, je me disais jamais plus je n'en reprendrai.

Les effets après

pendant les 24h tout allait super bien, c'était vraiment l'idéal. Plus de souci, tout va bien, mais les jours qui ont suivi étaient plutôt étranges. J’avais une sensation de ne plus être dans le monde, le temps me paraissait vraiment changé.
J’étais décalé, 1 minute était pour moi 1 jours et un jour comme 30 secondes, la perception des gens était différente.

15 jours passent et là, y avait une autre teuf, juste à coté de chez moi, j'en repris 2 taz. Là, pareil fallait que j'arrête car y avait des moments vraiment pas bons du tout, surtout pour la descente.
La descente c'est quand l'effet diminue, on revient dans le monde actuel. C'est pas évident, remise en cause, je pensais trop à tout et à rien en même temps, bref plus dans le présent, puis après l'extrême bonheur on va dans l'extrême malheur jusqu'à plus ou moins se stabiliser.
Les jours suivants étaient encore plus étranges, j’étais encore plus décalé dans le temps et je sentais m'énerver pour un rien.
Puis je décidais d’aller en teuf toutes les semaines.

Quand j'y allais, c'était pour oublier, je bouffais quelques taz, fumais un peu de beuh et op la soirée se passait, une de plus.
J'étais dans mon monde, dans ma bulle, enfermé sans pouvoir ou même vouloir en sortir vraiment car je croyais que c'était comme ça la vie, la fête.

Enfin je commençais à mal délirer sérieusement dans ma tête.
Je prenais 4 taz par teuf et parfois en semaine j'en bouffais quelques uns. J’étais devenu lunatique, je ne me contrôlais absolument plus. Un truc négatif était pour moi la fin du monde, je devenais très violent, par les paroles et parfois l'inverse, j'étais sans aucune réaction, j'étais comme dans ma bulle, c'est comme si je disais "ne me faites pas de mal".

J'avais de plus en plus de blocages
, c'est à dire que je n'arrivais plus à me concentrer sur ce que je voulais. Il y avait comme un voile (le regard vide ou ailleurs). Quand quelqu'un me parlait, je l'écoutais mais je n'arrivais plus à le suivre car j'avais soit oublié le début de la conversation ou soit j'étais parti sur un autre délire dans ma tête. C’était vraiment chaud (dure). Lire un texte pour moi était devenu presque impossible. je devais le lire et le relire et le re-relire.
Plus ça allait et plus c'était de pire en pire. Je faisais peur à mes proches qui voyaient la transformation.

Un jour, j'eus un accident de voiture, rien de grave, c'était à l'approche d'un feu. Vitesse 30, il y avait un pote que j'avais vu et auquel je le saluais. Seulement j'étais resté bloqué sur le salut, j'avais oublié que j'étais dans une voiture qui roulait et que je devais m'arrêter parce que les autres voitures étaient arrêtées au feu ! Par chance il n'y avait que les voitures qui avaient des casses.

Je rentrais souvent au radar chez moi. Au radar veut dire que je ne me souvenais même pas comment j'avais fait pour rentrer chez moi tellement que j'étais à l’arrache (fonceD). Je sais que je ne roulais jamais trop vite pour ne pas me faire repérer, je mettais ma ceinture à chaque fois. Fallait vraiment pas que l'on me capte. Je savais que c'était vraiment chaud s'il y avait un imprévu sur la route...

Mes potes teufeurs étaient souvent des loques, et je voyais la différence après les teufs sur eux. Il y avait un qui prenait des micropointes, au lieu de mettre une goutte de lsd sur une feuille pour faire plein de petits carrés qui suffisent à beaucoup de teufeurs, là c'était de mettre la goutte sur sa langue. L'effet est garanti, mais le système nerveux se prend une putain de claque. Avec un pote qui fumait seulement, on l'avait surnommé Spud en référence au film "trainspotting", un mec tout speed.
Les changements sont radicaux. Parfois on voyait ces différentes étapes de délire entre les semaines.
D'ailleurs spud est impuissant comme beaucoup de mes potes.

Finalement, je ne voulais tellement plus comprendre quoi que se soit que mon but en défonce était de devenir une loque, mais une vraie. Être un handicapé mental, c'était mon but puisque j'en avais plus (de but).

J'y étais presque arrivé.
Enfin le coup de pousse pour en arriver là, était l'origine de la vie, lire "Vie complexe" dans la rubrique "évolution".

 

J'ai décidé de faire autre chose

Puis un jour, j'en ais eu marre et surtout plus rien à perdre, je décidais de faire autre chose. Je me suis renseigné pour faire une formation en informatique à l'afpa, loin de chez moi, à Toulouse. Fallait que je parte loin de mes potes. Je voulais tout arrêter, j'étais over dosé. Pendant ce temps, j'avais ma copine Lætitia que je refusais de m'avouer que je l'aimais et que j'étais jaloux. Elle cherchait un appart sur Toulouse en étant sûre que j'allais faire la formation. Quand je passais les tests, j'eus un tel mauvais résultat que l'on m'a dit que je n'étais pas capable de faire de l'informatique. Avant mes défonces, l'informatique n'avait pas de complication, j'étais développeur confirmé, passionné, sportif avec pleins d'objectifs. C'était aussi avant d'écrire "vie complexe".

Mais nous décidions de partir quand même. Merci à elle car sans elle je serais sûrement actuellement dans un hôpital psychiatrique.

J'arrivais donc sur Toulouse début avril 2001, j'étais soulagé, je pouvais enfin recommencer ma vie, autrement, ne plus voir mes potes de défonce. Je ne voulais pas les quitter comme ça, c'était juste un break, comme une cure de désintoxication que je faisais à ma manière. J’avais pris un p'tit peu de beuh de quoi m'arrêter en douceur. Mon dernier taz était en mars 2001 depuis je n'en prend plus.

 

J'ai réussi.

Aujourd'hui, étape par étape et petit pas par petit pas, j'ai réussi à revivre sans drogue et le besoin d'en prendre !

- je ne fume plus de shit. En France le shit est interdit et pourtant quand je vais dans un bar tabac je trouve quoi, des feuilles à rouler, seulement pour faire des cigarettes ??? Dans certains magasins on peut acheter des Bangs (bong, cela a plusieurs noms, c'est un bout de bambou ou bouteille fermée d'un coté et ouvert de l'autre avec un petit orifice qui se trouve au plus ou moins en dessous du milieu auquel on ajoute une douille "sorte d'entonnoir, certains prennent des gros stylos marqueurs et la coupent au niveau de la mèche" et lui mettre un nid de tabac avec du shit dessus, on le remplis d'eau (en général) jusqu'à la douille et on inspire jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien dans la douille ). Ces bangs sont vendus pour une décoration ??

- je ne fume plus de clopes. Putain alors ça c'était dur ! Tout nous rappelle que des gens fument: 
à la tv, dans chaque films on voit toujours des grands acteurs fumer,  quand tu vois tes amis, au travail,  dehors, mais le pire c'est qu'il y a un Bar Tabac tous les 50 mètres. On nous sort que le tabac c'est dangereux pour la santé (autant de morts à l'année par les cigarettes que par les guerres) et on construit tous les 50 mètres ces endroits qui sont souvent luxueux. En fait, L’État n'en à rien à foutre de ta santé, ça rapporte trop les clopes, à combien sont les taxes dessus ??? Quand le prix des clopes montent, la différence est mineure au coup d'avant. Si on voulait vraiment pas que tu réduises ou que tu arrêtes de fumer, le mieux ne serait-il pas mieux de doubler, tripler le prix des paquets ou vraiment d'arrêter la production ? C’est un leurre de dire " on augmente pour que vous arrêtiez de fumer ".

- Je ne prend plus du poppo = poppers (officiellement Parfum d'ambiance détente, officieusement on le sniffe, quand je le sniffais j'avais une chaleur et des éclats de rire et une relâche de tension, inconvénient, ça ne dure que 2 minutes chaque sniff, sniffer donne souvent un mal de tête pas possible le lendemain, j'avais des crises d'angoisse quand j'en prenais de trop, certains l'utilisent pour baiser).

- je ne bouffe plus de taz.

- Je mange de plus en plus correctement

bref je me respecte, je suis clean et je m'en sens nettement mieux.

Le 10 avril 2001 dans mes délires de plus rien à perdre et de faire toujours ce qui est interdit de faire et ce qui n'est pas contraire à ma conscience, ma vie changea, il y avait un truc qui allait tout changer, un autre déclic, voir la rubrique 'mouvement raëlien'. Depuis, je revie, enfin ....

Je fais des méditations, je refais du sport, je mange moins de viande, je fais du développement personnel, je me respecte mentalement et physiquement.

J'apprécie ce que j'avais oublié, les choses rudimentaires, la vie, les fleurs, la beauté de la nature, le soleil, la pluie, le vent, les gens, la nourriture, les parfums, j'arrive à dormir normalement et surtout et par dessus tout, je m'aime de plus en plus et j'aime de nouveau de plus en plus les gens. J'essaye de me faire plaisir à chaque instant. Je suis hédoniste.

Certains vont penser que c'est un extrême et que d'être fonced de temps en temps sans trop abuser est mieux ! C'est encore un leurre, pour moi c'est juste un autre niveau de toxicomanie. De toute façon, on trouve toujours quelque chose pour se justifier de se que l'on fait et de dire que c'est bien. Et comme qui dirait: "si tu évites la première fois, tu évites la deuxième"

Chacun son chemin, chacun trouve sa liberté, son bien être.

Enfin le sujet de cette page est la drogue mais on ne parle jamais des autres drogues : La bouffe, certains mangent quand ils sont mal et deviennent parfois obèses ou l'inverse quand c'est l'anorexie. Pour d'autres c'est l'automutilation, la scarification, pour d'autres encore c'est la violence sur les autres (sûrement un moyen pour eux de se sentir mieux, de libérer colère qu'ils ont en réalité contre eux), et parfois certains passent à l'acte rapide, ils se suicident.
C'est ce qui arrive quand on est mal-heureux !

Voila ce qu'on peut dire du suicide à long terme.

OGM, vous êtes contre ? : "la meilleure" (plutôt la plus anesthésiante) des beuh de type "super skunk" comme la "white weedo", "orange beud" etc. sont génétiquement modifier pour avoir plus de THC. À ton avis les autres drogues sont comment ?

 

Liens

Documentaire

Drogue, la fin de la prohibition (RTS avril 2014)

Après 40 ans de guerre à la drogue, le constat est sans appel : partout dans le monde, la chasse aux trafiquants et la répression du consommateur sont un échec.

Le temps est venu de réfléchir à d'autres solutions : supprimer la prohibition, légaliser le cannabis, voire les autres drogues comme au Portugal ? Le mouvement est en marche.

L'Uruguay, l'Espagne, et aux États-Unis, le Colorado et l'État de Washington ont légalisé sous conditions. Et bientôt Genève ? Un groupe inter-partis travaille sur la légalisation du cannabis récréatif. 

 

Prend soin de toi